Archives pour l'Auteur : yuko

etc

Bululù – Jean-Paul Autain (saxophone, saxone), Olivier Bost (trombone), Guillaume Grenard (laptop, trompette, basse électrique, euphonium, bugle), Emmanuelle Saby (clarinette, clarinette basse, kénarinette, chant), Yuko Oshima (batterie)

Spier– Jeanne Barbieri (composition, voice, synthesizer) Laure Fischer (baryton sax), Yuko Oshima (drums) 

past group

Gunkanjima –  Gilles Laval(guitar), Yoko Higashi (voice, electronics), Marc Siffert (bass, contrabass), Takumi Fukushima (voice, violin), Laurent Grappe (laptop), Yuko Oshima (drums), Emmanuel Gilot (sound system)

Trio Klang – Catherine Jauniaux (Voice), Sophie Agnel(cordophone), Yuko Oshima (drums)

Ganjin – Hugues Vincent (cello), Frantz Loriot(viola), Yuko Oshima (drums)

the Dors – Chris Sharkey(g), Christophe De Bezenac(sax, electronics), Eve Risser (piano, keyboard),Yuko Oshima (drums)

Jornal Intime + Donkey Monkey – Sylvain BARDIAU(trompette), Matthias MAHLER(trombone) , Frédéric GASTARD(saxophone bass), Eve Risser (piano), Yuko Oshima (drums)

past project for theater

ICI  

 

de Fatou Ba (compagnie 12-21) et Gilles Porte

mise en scène Babette Masson     (2014)

 

 

 

 

bishinkodo

BISHINKODO

Eric BROITMANN / acousmonium, composition
Yuko OSHIMA / drums, composition

music of drums for drums and acousmonium

BISHINKODO was born when two musicians from different sound scape met, Yuko Oshima from Jazz, improvised/experimental music scene, Eric Broitmann, composer of acousmatic music and active in the group Motus. On stage, a drum set and an orchestra of spatial speakers will change the codes of each instrument and reveal a new sound together. Through electroacoustic processing and spatial treatment , Bishinkodo explores ‘drums’ beyond of it’s rhythmic aspect, especially in its many sound potentialities. The music of BISHINKODO evolves between organic and electronic sounds, between musical gesture and abstraction. ‘Drums’ becomes a generator and the electronics is an orchestra. The universes of the two musicians merge into a music totally vibrant, an auditory and visual spectacle that invents its own language and its own narration.


Bishinkodo est né de la rencontre de deux musiciens et de leurs univers respectifs: la batteuse japonaise Yuko Oshima, venue du jazz, des musiques improvisées et expérimentales, et Eric Broitmann, compositeur de musique acousmatique, actif entre autres au sein de Motus. Sur scène, une batterie et un orchestre de hautsparleurs spatialisés vont bouleverser les codes propres à chaque instrument et dévoiler une matière sonore inédite.
A travers le traitement électroacoustique et la mise en espace, Bishinkodo explore la batterie audelà de l’aspect rythmique, dans ses nombreuses potentialités sonores. La pièce évolue entre sons organiques et électronique, entre geste musical et abstraction. La batterie devient générateur et l’électronique est orchestre. Les univers complices des deux musiciens fusionnent dans une musique pleinement vibrante, un spectacle tant auditif que visuel qui invente son propre langage et sa proper narration.

© Bérénice Palier

music for theater

music for theater

© Gérard WATKINS

En France, une femme meurt tous les trois jours suite aux coups portés par un homme. Choqué par ce chiffre consternant, Gérard Watkins se penche sur ce fléau et met en scène la violence conjugale au sein de deux couples. Après quelques textes foisonnants et passionnants qui lui valent en 2010 le Grand Prix de littérature dramatique, il confronte son écriture à la terrible réalité et à la réflexion de professionnels (docteurs, psychiatres, procureurs, travailleurs sociaux…) qui tentent chaque jour d’enrayer cette violence. L’auteur-metteur en scène et les acteurs du Perdita Ensemble cherchent, par tous les moyens du théâtre, à décrire, ausculter, comprendre ce terrorisme intime. À partir d’un travail à la fois intérieur et physique sur des personnages qui nous sont familiers, en associant les regards, très divergents, de professionnels sur l’exercice de leur métier, Scènes de violences conjugales se veut un spectacle résolument humain. Pour que la parole sonne juste mais que l’espoir subsiste au-delà des coups. Pour comprendre l’ivresse et la folie des « perpétrateurs », pour que les femmes n’abandonnent pas le combat, au propre comme au figuré. Comme le dit Ernestine, l’une des travailleuses sociales consultées, « Il ne faut pas que la femme meure ». Elle a raison, Ernestine. Il ne faut pas que les femmes meurent. Il ne faut plus que les femmes meurent.

Texte mise en scène scénographie : GÉRARD WATKINS

Musique : YUKO OSHIMA
Lumières : ANNE VAGLIO
Régie Générale et Construction : FRANCK LEZERVANT
Régie lumières : JEAN HULEU
avec
HAYET DARWICH, JULIE DENISSE, DAVID GOUHIER, MAXIME LÉVÊQUE, YUKO OSHIMA

© Elena Mazzarino

TROPIQUE DE LA VIOLENCE

Nathasha Appanah / Alexandre Zeff

D’après le roman Tropique de la Violence de Nathacha Appanah © Éditions Gallimard
Adaptation et mise en scène : Alexandre Zeff
Avec : Mia Delmaë, Alexis Tieno, Thomas Durand, Mexianu Medenou, Assane Timbo
Musiciens : Yuko Oshima, Damien Barcelona, Blanche Lafuente
Scénographie et lumière : Benjamin Gabrié
Dramaturgie : Noémie Regnaut
Collaboration artistique : Claudia Dimier
Création Vidéo : Muriel Habrard, Alexandre Zeff
Assistanat vidéo : Jules Beautemps, Sara Jehane Hedef
Création musique et son : Yuko Oshima, Vincent Robert, Guillaume Callier, Mia Delmaë
Régie Plateau et coordination : Damien Rivalland
Assistante à la mise en scène et dramaturgie : Leslie Menahem
Assistante à la mise en scène et coordinatrice : Cécile Cournelle
Stagiaire mise en scène : Adèle Sierra
Régisseur général : Sylvain Bitor
Régisseur son : François Vatin
Costumes : Sylvette Dequest
Maquillage et effets spéciaux : Violette Conti
Collaboratrice chant : Anaël Ben Soussan
Chorégraphie de combat : Karim Hocini
Construction décor : Suzanne Barbaud, Yohan Chemmoul, Benjamin Gabrié
Attachée de presse : Francesca Magni
Diffusion : Alexandrine Peyrat et Olivier Talpart
Administration La Camara Oscura : Cindy Clech

Nathacha Appanah nous plonge dans l’enfer d’une jeunesse livrée à elle-même au cœur du plus grand bidonville de France, à Mayotte. Sur cette île du bout du monde, au bord du chaos, cinq destins vont nous révéler la violence de leur quotidien. Un nourrisson nommé Moïse débarque en kwassa sur l’île de Mayotte avec sa mère, comme des milliers de migrants qui tentent la traversée depuis les îles des Comores. Cet enfant, dont la mère a peur car elle pense que c’est le fils du djinn (démon), le donne à une infirmière, Marie. Venue de métropole, Marie est depuis peu sur l’île et souffre de sa stérilité, elle accepte donc avec joie d’élever cet enfant jusqu’à ce qu’elle meure subitement d’un accident cérébral. Moïse, adolescent et livré à lui-même, va alors rejoindre un immense bidonville que l’on surnomme Gaza où vivent des milliers de mineurs isolés. Il rencontre celui qui s’est proclamé son roi, Bruce, qui, après l’avoir pris sous son aile, va le contraindre à un combat à mort. Stéphane, humanitaire, et Olivier, policier, vont nous accompagner tout au long du récit en essayant de gérer une situation insoutenable.

music for dance

  • Chorégraphie et interprétation : Damien Briançon
  • Création sonore : Yuko Oshima
  • Ingénieur du son : Anthony Laguerre
  • Lumières et régie générale : Emanuelle Petit
  • Céramiques : Julia Morlot
  • Regards et accompagnement :Marie Cambois, Antoine Cegarra, Mathieu Bouvier
  • Conseil vidéo : Julien Schafferlee
  • Régie vidéo : Raphaël Siefert

Damien BRIANÇON (dance)

Yuko OSHIMA (drums)

past collaboration

Duo

Yumi FUJITANI (dance)

Yuko OSHIMA (drums,sampler)